Neottiglossa leporina (Herrich-Schäffer, 1830)
Classe :
Insecta
Ordre :
Hemiptera
Famille :
Pentatomidae
Sous-Famille :
Pentatominae
Tribu :
Aeliini
Genre :
Neottiglossa
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- 1 observation
-
1
commune -
1
observateur -
Première observation
2021 -
Dernière observation
2021
Chrétien Johann
Informations espèce
Taille : 5 – 6,5 mm
Diagnose :
Petite punaise entièrement jaunâtre à la tête aussi longue que large recourbée en avant. Antennes dont l’article II dépasse l’apex du clypéus (nez). Une fine ligne longitudinale centrale plus claire traverse le pronotum et s’étend sur le scutellum, mais n’est pas ceinturée de noir. Scutellum élargi qui dépasse la longueur des cories (partie sclérifiée des ailes antérieures). Les angles antérieurs du scutellum sont soulignés de lignes blanches allongées moins longues que le tiers de la longueur du scutellum.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Elle se distingue des autres Neottiglossa par son scutellum élargi dépassant l’apex des cories. Avec Neottiglossa bifida, elle fait partie des espèces de Neottiglossa « claires », avec les parties latéro-ventrales de l’abdomen et la ponctuation de l’exocorie jaunâtres, et le ventre dépourvu de tache noir-bronzé et le connexivum largement clair.
Période d’observation :
Mai à septembre, mais principalement en août.
Biologie-éthologie :
Vit uniquement sur différentes graminées dont les pâturins, fétuques, agrostides.
Biogéographie et écologie :
Espèce eurosibérienne absente en Grande-Bretagne, qui remonte jusqu'à 53° de latitude nord en Pologne et en Russie. Elle s’étend jusqu’en Chine et en Corée vers l’est. Elle est absente dans les parties les plus chaudes de l’aire méditerranéenne. Son aire de répartition recouvre une partie de celle de N. bifida. La fréquence relative de ces 2 espèces en zone méditerranéenne est un bon marqueur climatique. Dans les milieux herbeux riches en graminées, secs ou humides, mais exceptionnellement dans les prairies cultivées. C’est une espèce très commune avec des densités localement élevées, parmi les épis et graines de graminées.
Diagnose :
Petite punaise entièrement jaunâtre à la tête aussi longue que large recourbée en avant. Antennes dont l’article II dépasse l’apex du clypéus (nez). Une fine ligne longitudinale centrale plus claire traverse le pronotum et s’étend sur le scutellum, mais n’est pas ceinturée de noir. Scutellum élargi qui dépasse la longueur des cories (partie sclérifiée des ailes antérieures). Les angles antérieurs du scutellum sont soulignés de lignes blanches allongées moins longues que le tiers de la longueur du scutellum.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Elle se distingue des autres Neottiglossa par son scutellum élargi dépassant l’apex des cories. Avec Neottiglossa bifida, elle fait partie des espèces de Neottiglossa « claires », avec les parties latéro-ventrales de l’abdomen et la ponctuation de l’exocorie jaunâtres, et le ventre dépourvu de tache noir-bronzé et le connexivum largement clair.
Période d’observation :
Mai à septembre, mais principalement en août.
Biologie-éthologie :
Vit uniquement sur différentes graminées dont les pâturins, fétuques, agrostides.
Biogéographie et écologie :
Espèce eurosibérienne absente en Grande-Bretagne, qui remonte jusqu'à 53° de latitude nord en Pologne et en Russie. Elle s’étend jusqu’en Chine et en Corée vers l’est. Elle est absente dans les parties les plus chaudes de l’aire méditerranéenne. Son aire de répartition recouvre une partie de celle de N. bifida. La fréquence relative de ces 2 espèces en zone méditerranéenne est un bon marqueur climatique. Dans les milieux herbeux riches en graminées, secs ou humides, mais exceptionnellement dans les prairies cultivées. C’est une espèce très commune avec des densités localement élevées, parmi les épis et graines de graminées.
Non renseigné pour le moment
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Neotiglossa leporina (Herrich-Schäffer, 1830)
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Neottiglossa leporina leporina (Herrich-Schäffer, 1830)
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Neottiglossa leporina valenciana Wagner, 1960
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Pentatoma leporina Herrich-Schäffer, 1830