Mazarin des écorces
Pyrochroa serraticornis (Scopoli, 1763)
Classe :
Insecta
Ordre :
Coleoptera
Famille :
Pyrochroidae
Sous-Famille :
Pyrochroinae
Genre :
Pyrochroa
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- 3 observations
-
2
communes -
2
observateurs -
Première observation
2020 -
Dernière observation
2021
Chrétien Johann
-
Fabrice J 10140 (inconnu)
Informations espèce
Taille :
12-20 mm.
Diagnose :
Dessous du corps, pattes et antennes noirs. Dessus du corps et tête en entier, rouges. Antennes en peigne chez le mâle, dentées chez la femelle. Aucune trace de stries sur les élytres. Le corps a un aspect aplati, peu épais, déprimé. La tête a les tempes élargies en arrière, lui donnant un aspect triangulaire, elle est à peu près aussi large que le thorax. La larve est plate, jaune, la tête et les pattes orange, le dernier segment abdominal porte deux pointes orange.
Facilité d’identification :
Moyennement difficile
Espèces proches :
Cette espèce ne peut être confondues avec d’autres espèces rouges et déprimées, comme notre autre Pyrochroa (Pyrochroa coccinea (Linnaeus, 1761), qui a la tête noire), les Lycidae, notamment le genre Dyctiopterus (aux élytres striées), le très rare Cucujus cinnaberinus (Scopoli, 1763), à la tête noire et plus large que le thorax, qui a le même mode de vie ; et le longicorne Pyrrhidium sanguineum (Linnaeus, 1758) dont la tête est noire et le thorax n’est pas rouge mais noir avec une pilosité rouge.
Périodes d’observation :
Printemps et été, pour l’adulte, toute l’année pour la larve.
Biologie/Ethologie :
Les adultes sont floricoles, on les rencontre au printemps et en été, dans les espace ouverts des forêts et des boisements, où à leur proximité plus ou moins immédiate (cette espèce vole très bien). Cette espèce a une préférence pour les boisements humides. La larve vit sous les écorces des troncs d’arbres à feuilles caduques, elle est prédatrice d’autres larves, principalement saproxylophages (mangeuse de bois mort).
Biogéographie :
L’espèce est connue de presque toute la France métropolitaine, où elle est commune.
Cette espèce fait partie des espèces de Coléoptères suivies par l’Inventaire national des Coléoptères saproxyliques de France Métropolitaine.
12-20 mm.
Diagnose :
Dessous du corps, pattes et antennes noirs. Dessus du corps et tête en entier, rouges. Antennes en peigne chez le mâle, dentées chez la femelle. Aucune trace de stries sur les élytres. Le corps a un aspect aplati, peu épais, déprimé. La tête a les tempes élargies en arrière, lui donnant un aspect triangulaire, elle est à peu près aussi large que le thorax. La larve est plate, jaune, la tête et les pattes orange, le dernier segment abdominal porte deux pointes orange.
Facilité d’identification :
Moyennement difficile
Espèces proches :
Cette espèce ne peut être confondues avec d’autres espèces rouges et déprimées, comme notre autre Pyrochroa (Pyrochroa coccinea (Linnaeus, 1761), qui a la tête noire), les Lycidae, notamment le genre Dyctiopterus (aux élytres striées), le très rare Cucujus cinnaberinus (Scopoli, 1763), à la tête noire et plus large que le thorax, qui a le même mode de vie ; et le longicorne Pyrrhidium sanguineum (Linnaeus, 1758) dont la tête est noire et le thorax n’est pas rouge mais noir avec une pilosité rouge.
Périodes d’observation :
Printemps et été, pour l’adulte, toute l’année pour la larve.
Biologie/Ethologie :
Les adultes sont floricoles, on les rencontre au printemps et en été, dans les espace ouverts des forêts et des boisements, où à leur proximité plus ou moins immédiate (cette espèce vole très bien). Cette espèce a une préférence pour les boisements humides. La larve vit sous les écorces des troncs d’arbres à feuilles caduques, elle est prédatrice d’autres larves, principalement saproxylophages (mangeuse de bois mort).
Biogéographie :
L’espèce est connue de presque toute la France métropolitaine, où elle est commune.
Cette espèce fait partie des espèces de Coléoptères suivies par l’Inventaire national des Coléoptères saproxyliques de France Métropolitaine.
Non renseigné pour le moment
Non renseigné pour le moment
Cantharis serraticornis Scopoli, 1763
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Pyrochroa purpurata O.F. Müller, 1776
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Pyrochroa rubens Schall.
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